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Le « bien naître » du couple

L’harmonie à deux, facteur essentiel...

Il faut savoir que tout d’abord, le couple a son propre besoin individuel d’harmonie avant de pouvoir ressentir l’harmonie à deux. Le stress, la crise d’aujourd’hui, l’angoisse d’hier et la peur de demain, engendrent des états fatidiques pour chacun et des états tumultueux pour la bienveillance du couple.

• Les thérapies de couple : Gestion des conflits, solutions pour sauver son couple
• On ne choisit pas son partenaire par hasard
• Comment résoudre les problèmes de communication au sein du couple
• Celui qui estime l’autre au même titre que sa propre personne peut dire qu’il aime l’autre.
• Celui qui gouverne sa famille comme sa propre personne est apte à aimer sincèrement et considérer sa famille dignement en restant intègre, simple et désintéressé.

Des schémas que l’on répète, des désillusions qui poussent à l’infidélité ou à la thérapie pour se comprendre

Le couple est synonyme de repère, plus ou moins réussi, certes, mais schémas induit et perçu à travers les familles parentales réciproques de l’un et de l’autre des partenaires. Ou l’on choisi son partenaire ressemblant à nos propres pères et mères, ou au contraire différents au possible, pour s’éloigner du schéma connu et pas toujours apprécié, tel quel.

En effet combien de parents grâce à leur façon d’avoir aimé, ont pu susciter à leurs enfants, l’envie de reproduire cet idéal ?
L’on se marie donc par illusion d’un succès, composé de toute pièce par le rêve et la volonté d’y parvenir. Donner un fruit à cet amour et composer sa propre famille.

C’est avec le temps que le couple se connaît vraiment et s’aperçoit qu’il n’est pas toujours facile de ne pas se décevoir sans être obligé pour plaire à l’autre de s’oublier soi même.Frustrations remords et regrets s’installent alors.

Aimer, c’est partager ensemble et séparément, pour un bon équilibre du couple

Étouffement, possessivité, esprit de partage pas toujours réciproque et suffisant et bien vite, des périodes d’incompréhension et de frustration, s’installent et mettent du temps à disparaître si l’on ne se sent pas agile dans la communication verbale. L’un pense que l’autre devrait être capable de tout comprendre, naturellement sans paroles.
« Si tu m’aimes tu dois faire ce qu’il faut et surtout savoir ce que j’aime ! »
« idem pour toi ! »

Alors place à la bouderie ou à la position de défensive puis à l’agressivité !
Aimer, c’est partager le plus de choses ensemble, mais peut être pas tout non plus ? Garder son épanouissement personnel, ses sorties amicales, ses sports et ses petits moments intimes, est important pour avoir beaucoup à échanger et à partager.
Être en fusion que partiellement finalement !

La bonne distance...

Comment bien vivre sa vie à deux et retrouver la bonne distance entre les deux membres du couple, orienter l’intérêt de chacun d’eux vers leur construction commune et individuelle de couple, pour en découvrir les contradictions, et les non- dits, les faire évoluer sans aucun jugement.
Quelle dynamique de couple ?
Contrairement aux thérapies individuelles où le travail interprétatif concerne les processus psychiques d’une personne, dans les thérapies de couple le thérapeute interprète la dynamique du couple en servant de médiateur bienveillant et impartial.
Il écoute le couple, ses jardins secrets, ses tensions, pour aider les partenaires à rétablir leur communication de couple en difficulté.

L’écoute de chacun

Je reçois les couples ensemble et séparément afin de les préparer l’un et l’autre, à un accompagnement optimal dans le respect et l’écoute de chacun, afin de leur offrir une nouvelle capacité d’harmonie.
Nous parlons des violences psychologiques, de leurs attentes de l’un vers l’autre, de leur frustration, de leurs regrets ou remords, voir même de leurs petites infidélités et remédions ensemble à la survie de leur couple.
Sans jugement et avec beaucoup de compassion d’écoute et de bienveillance ils se permettent de se livrer sereinement pour résoudre leurs conflits et être capable de se pardonner.
Grâce à la médiation familiale plus besoin systématiquement par vengeance ou frustration de liquider votre régime matrimonial mais plutôt reprendre le dialogue rompu ou devenu impossible.

Un suivi thérapeutique, comme solution saine et adaptée

Conclusion : Une thérapie de couple d’accompagnement est plus saine qu’un mauvais divorce !
En effet, les pervers narcissiques ou les frustrés, qui accusent mal les remises en question et mises à l’index de leur partenaire, se retourneront souvent, contre les enfants en cas de déception et d’incompréhension, afin de les prendre en otage dans le conflit.
Celui des deux conjoints qui continuera à aimer l’autre, en secret mais en ressentant la déception d’incompréhension, le lui fera payer à sa manière.
Je vous reçois selon votre possibilité à mon cabinet à Paris 17 ème pour en parler ensemble.

La construction commune et individuelle de couple

Retrouver la bonne distance entre les deux membres du couple, orienter l’intérêt de chacun d’eux vers leur construction commune et individuelle de couple, pour en découvrir les contradictions, et les non- dits, les faire évoluer sans aucun jugement.

La thérapie de couple

Contrairement aux thérapies individuelles où le travail interprétatif concerne les processus psychiques d’une personne, dans les thérapies de couple le thérapeute interprète la dynamique du couple en servant de médiateur bienveillant et impartial.

L’accompagnement dans la thérapie de couple

Je reçois les couples ensemble et séparément afin de les préparer l’un et l’autre, à un accompagnement optimal dans le respect et l’écoute de chacun, afin de leur offrir une nouvelle capacité d’harmonie.
Médiation familiale et conseil conjugal
Une thérapie de couple est plus saine qu’un mauvais divorce, qui se retournera, contre les enfants en cas de déception de celui des deux conjoints qui continuera en secret, à aimer l’autre et à le lui faire payer.

Le couple fusionnel

Les signes permettant d’identifier l’existence d’une carence affective, sont nombreux. Lorsqu’on souffre de carence affective, on a le don de se lancer dans des relations de couple souffrantes. On attend de la part de l’autre qu’il nous donne ce que l’on n’a pas reçu durant notre enfance. C’est à dire l’affection, la reconnaissance, l’attention, etc… Toutes ces situations répétitives développent des mécanismes de défense compensatoire.
Cette carence affective, c’est un besoin fondamental qui n’a pas été comblé. Avant de naître, un enfant a vécu dans le ventre de sa mère pendant 9 mois. Il y a été enveloppé, bercé et porté le plus naturellement, lorsqu’ il fut désiré.
Quand il vient au monde, il ne peut pas brutalement, cesser d’avoir besoin de contact humain. L’enfant, comme l’adulte plus tard, garde donc le besoin d’être chéri, enveloppé, d’être câliné.

Au niveau de l’enfance, si les parents gardent une distance, l’enfant va être en demande, en recherche, en quête pour être pris dans les bras. Et le besoin de contact, de tendresse est aussi important que le besoin de chaleur ou de nourriture. De la carence peut venir la souffrance, c’est une situation douloureuse que l’on n’a pas pu gérer et digérer.
Il est difficile de définir ce que ressent une personne en carence affective.

Manque d’apports affectifs : absence d’attention, manque d’empathie et manque de protection.

  • Elle a l’impression d’être destinée à toujours rester seule, à ne jamais trouver d’épanouissement, à ne jamais parvenir à être entendue ou comprise, à ne pas mériter.
  • Elle ressent une sensation de vide, de solitude et d’absence avec la certitude douloureuse et angoissante d’être condamnée à la solitude. La carence affective est liée aux ressentis de l’enfant négligé.
    La personne a la certitude que les autres ne donneront pas le soutient affectif dont elle a besoin.

On peut distinguer trois catégories principales


Manque d’apports affectifs
 : absence d’attention, d’affection, de chaleur, ou d’une présence amicale.
Manque d’empathie : absence de quelqu’un de compréhensif qui vous écoute et de quelqu’un à qui parler de soi-même.
Manque de protection  : absence de quelqu’un de fort qui guide et conseille.

C’est ainsi que ce besoin non comblé de tendresse , continue à crier en soi. Une personne en carence affective va chercher à combler ce manque. Elle va demander (consciemment ou non) aux personnes qu’elle côtoie, de la combler, comme si celles-ci étaient susceptibles de pouvoir compenser ce qu’elle n’a pas reçu comme tendresse, comme affection, comme sécurité.
Elle aura l’impression de ne jamais être assez prise en considération, jamais être assez aimée, et ce manque est en fait l’écho de ce qui lui a jadis manqué de la part de ses parents. Ce qu’on lui donne n’est jamais assez puisque cela ne peut emplir le manque qui vient de l’enfance. Mais l’inverse est aussi possible : si un parent a surprotégé son enfant, l’adulte plus tard va rechercher cette même surprotection, cette même forme d’amour.

Est-il le bon partenaire ?

Dans le couple, cela donne par exemple, un partenaire qui veut à tout prix être aimé. Il est dans une telle attente d’amour que cela peut faire peur et étouffer l’autre. Et même quand on l’aime, il ne se sent jamais assez aimé. Il peut douter de l’amour que l’on lui porte car il ne se sent pas digne d’être aimé. Il a donc un manque de confiance en lui, ne se sent pas une belle personne, voire complexé, pas attirant et manque d’estime. La moindre remarque ou attitude sera interprétée comme un refus, un rejet, un abandon ou un manque d’amour, et cela tend à provoquer un mal-être, des frustrations, des peurs et des angoisses caractéristiques.

La peur de ne pas être aimé

Cette peur de ne pas être aimé, fausse le jugement et emmène en dehors de la réalité. Et la peur génère 3 types de comportements. On peut la subir sans réagir, et c’est l’inhibition qui correspond à une sorte de souffrance dépressive. On peut plutôt prendre une position défensive : même quand on vous aime, vous n’y croyez pas. On refoule l’amour, on n’y croit pas, car on pense que ce n’est pas possible d’être aimé.

Et le troisième comportement possible face à la peur, c’est la fuite. La peur l’emporte sur le désir d’être aimé qui pourtant est très présent.
Arrêter de croire que l’amour va panser les souffrances.

Un travail sur soi

Un travail sur soi est indispensable pour identifier ses blessures. Comprendre pourquoi l’on fonctionne ainsi, avec des souffrances à répétition… Il faut apprendre à s’aimer soi-même, travailler sur la confiance en soi. Sentir que notre souffrance prend sa racine dans notre passé. Au final, il faut se reconstruire faire le point de ses carences, les soigner en , en prenant conscience pour enfin accepter d’aimer et être aimé(e).
Notre corps nous dit tout, encore faut- il savoir l’écouter et l’entendre…en évitant de le maltraiter.

Dans le cadre de mes thérapies, je propose au couple une connaissance approfondie de chacun, afin d’envisager ensemble une harmonie sexuelle aboutie.
Bien souvent c’est par pudeur et manque de communication que les échanges restent encore superficiels et maladroits en matière d’épanouissement sexuel . A travers la thérapie comportementale, chacun se délivre de ses doutes et traumatismes, faisant le chemin vers lui même puis enfin vers l’autre et trouvent ensemble le bon équilibre, pour se rejoindre dans l’orgasme.

Valérie Grumelin Halimi Psychothérapeute comportementaliste à Paris
Autrice de la Méthode Gynéco-Psy et de la Technique O.R.I.U.S.

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